- 184 -
3. Quelle: Telegramm des Reichskanzlers an den Kaiserlichen Bot-schafter in Petersburg vom 1. August 1914.
Fundort - Deutsches Weibuch. Anlage 23.
Falls die russische Regierung keine befriedigende Antwort auf unsere Forderung erteilt, so wollen Eure Exzellenz ihr heute nachmittag 5 Uhr (mitteleuropische Zeit) folgende Erklrung berreichen:
Le Gouvernement Imperial s'est efforce dfcs les debuts de la crise de la mener une Solution pacifique. Se rendant un desir qui lui en* avait ete exprim par Sa Majeste l'empereur de Russie, Sa Majeste l'empereur d'al-Iemagne d'accord avec l'angleterre etait applique accomplir un rle Mediateur aupr&s des Cabinets de Vienne et de St. Petersbourg, lorsque la Russie, sans en attendre le resultat, proceda la mobilisation de la totalite de ses forces de terre et de mer.
A la suite de cette mesure mena$ante motivee par aucun preparatif mili-taire de la part de l'allemagne, l'empire Allemand se trouva bis--bis d'un danger grave et imminent. Si le Gouvernement Imperial et manque de parer ce pril il aurait compromis la securite et l'existence meme de l'allemagne. Par consequent le Gouvernement Allemand se vit force de s'adresser au Gouvernement de Sa Majeste 1'Empereur de toutes les Russies en sistant sur la cessation des dits actes militaires. La Russie ayant refuse de faire droit cette demande et ayant manifeste par ce refus, que son action etait dirigee contre l'allemagne, j'ai l'honneur d'ordre de mon Gouvernement de faire savoir Votre Excellence ce qui suit:
Sa Majeste l'empereur, mon auguste Souverain, au nom de l'empire rel&ve le defi et Se considfere en etat de guerre avec la Russie.
Bitte Eingang und Zeitpunkt der Ausfhrung dieser Instruktion nach russischer Zeit dringend drahten.
Bitte Ihre Psse fordern und Schutz und Geschfte amerikanischer Botschaft bergeben.
108.
Der Ausbruch des Krieges zwischen Deutschland und Frankreich.
4. August 1914.
1. Quelle: Dringendes Telegramm des Reichskanzlers an den Kaiser-lichen Botschafter in Paris vom 31. Juli 1914.
Fundort! Deutsches Weibuch. Anlage 22.
Rußland hat trotz unserer noch schwebenden Vermittlungsaktion und obwohl wir selbst keinerlei Mobilmachungsmanahmen getroffen haben, Mobilmachung seiner gesamten Armee und Flotte, also auch gegen uns, verfgt. Wir haben darauf drohenden Kriegszustand erklrt, dem Mobilmachung folgen mu, falls nicht Rußland binnen 12 Stunden alle Kriegsmanahmen gegen uns und Cfter reich einstelle. Die Mobilmachung bedeutet unvermeidlich Krieg. Bitte franzsische Regierung fragen, ob sie in einem russisch-deutschen Kriege neutral bleiben will. Antwort mu binnen 18 Stunden erfolgen. Sofort Stunde der gestellten An-frage drahten. Grtes Eile geboten.
TM Hauptwörter (50): [T32: [Vgl Stadt Aufl Frankreich fig Maas Sch. Einw. Vergl Festung], T34: [Krieg Frankreich England Deutschland Preußen Frieden Rußland Napoleon Kaiser Jahr], T12: [König Paris Jahr Napoleon General Frankreich Mann Tag Kaiser Minister]]
TM Hauptwörter (100): [T60: [Preußen Reich Staat Bund Kaiser deutsch Reichstag König Deutschland Regierung], T99: [Frankreich Loire Stadt Rhone Gebirge Pyrenäen Paris Meer Garonne Lyon], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T66: [Geschichte Iii Vgl Nr. Aufl Gesch Lesebuch Bild fig deutsch], T29: [Napoleon Heer Schlacht Preußen Franzose General Mann Armee Sieg Bluch]]
TM Hauptwörter (200): [T35: [König Bismarck Wilhelm Kaiser General Minister Stein Berlin Graf Moltke], T53: [Frankreich Stadt Loire Paris Rhone Garonne Maas Lyon Orlean Hauptstadt], T67: [Preußen Bund Staat König Regierung Deutschland Verfassung Frankfurt Reichstag Bundestag], T39: [Million Mark Geld Jahr Summe Steuer Thaler Staat Ausgabe Einnahme], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung]]
Extrahierte Personennamen: August Le_Gouvernement_Imperial August
Extrahierte Ortsnamen: Kaiserlichen_Bot-schafter Petersburg Petersbourg Deutschland Frankreich Paris
- 87 -
51.
Die franzsische Kriegserklrung.
19. Juli 1870.
Quelle: Die formelle Kriegserklrung, berreicht durch den franzsischen Geschftstrger Le Sourd.
Fundort: Aegidi und Klauhold a. a. O. Bd. 19. Nr. 4053.
Berlin, 19 Juillet 1870.
Le Soussigne, charge d'affaires de France, en execution des ordres qu'il a re<?us de son Gouvernement, a l'honneur de porter la connaissance de Son Excellence Monsieur le Ministre des affaires etrangeres de Sa Majeste le Roi de Prusse la communication suivante:
Le Gouvernement de Sa Majeste 1'Empereur des Francis, ne pouvant regarder que comme une entreprise dirigee contre la securite territoriale de la France le projet d'elever un Prince prussien au trne d'espagne, s'est trouve dans la necessite de demander Sa Majeste le Roi de Prusse l'assurance qu'une teile combinaison ne pourrait se realiser avec son assentiment.
Sa Majeste le Roi de Prusse s'etant refuse donner cette assurance et ayant temoigner au contraire 1'Ambassadeur de Sa Majeste 1'Empereur des Frangais qu'il entendait se reserver, pour cette eventualite comme pour toute autre, la faculte de consulter les circonstances, le Gouvernement imperial a du voir dans la declaration du Roi une arriere-pensee menapante pour la France comme pour l'equilibre general des forces en Europe. Cette declaration a ete aggravee encore par la notification faites aux cabinets du refus de recevoir 1'Ambassadeur de 1'Empereur et d'entrer dans aucune explication nouvelle avec lui.
En consequence, le gouvernement de Sa Majeste Imperiale a juge qu'il avait l'obligation de pourvoir immediatement la defence de son honneur et de ses intersts compromis et, resolu prendre, cet effet, toutes les mesures commandees par la Situation qui lui est faite, il se considere, ds present, comme etant en etat de guerre avec la Prusse. Le Soussigne a l'honneur etc.
(sign6) Le Sourd.
52.
Die Schlacht bei Wrth.
6. August 1870.
Quelle: Helmuth von Moltke, Geschichte des deutsch-franzsischen Krieges von 1870/71. Volksausgabe. Berlin 1895. <3. 914.
Nachdem schon in der Nacht zum 6. die beiderseitigen Vorposten mehrfach aneinander geraten waren, glaubte der Fhrer der 20. (deutschen) Brigade, sich des dicht vor der Front liegenden berganges der die ein ernstes Hindernis bildende Sauer bemchtigen zu sollen. Die nach Wrth fhrende Brcke war zerstrt; aber die Schtzen durchwateten den Flu und drangen um 7 Uhr frh in die vom Gegner nicht besetzte Stadt.
Bald genug zeigte es sich, da man einen zahlreichen Feind in starker Stellung vor sich habe.
Die breiten Wiesen der Sauer liegen berall im wirksamen Bereich des berhhenden rechten Talhangs, und das weittragende Chassepotgewehr mute
TM Hauptwörter (50): [T32: [Vgl Stadt Aufl Frankreich fig Maas Sch. Einw. Vergl Festung], T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen]]
TM Hauptwörter (100): [T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T99: [Frankreich Loire Stadt Rhone Gebirge Pyrenäen Paris Meer Garonne Lyon], T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T29: [Napoleon Heer Schlacht Preußen Franzose General Mann Armee Sieg Bluch], T66: [Geschichte Iii Vgl Nr. Aufl Gesch Lesebuch Bild fig deutsch]]
TM Hauptwörter (200): [T53: [Frankreich Stadt Loire Paris Rhone Garonne Maas Lyon Orlean Hauptstadt], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung], T35: [König Bismarck Wilhelm Kaiser General Minister Stein Berlin Graf Moltke]]
Extrahierte Personennamen: Le_Soussigne Francis Le_Sourd August Helmuth_von_Moltke
Extrahierte Ortsnamen: Le_Sourd Berlin Europe Berlin
- 96 -
fuhr. Um 11 Uhr war ich hier und trank mit meiner Umgebung auf das Wohl der Armee, die solches Ereignis erkmpftes.
57.
Die Gefangennahme Napoleons und die Kapitulation des fran-zsischen Heeres nach der Schlacht bei Sedan.
1. und 2. September 1870.
1. Quelle: Brief Napoleons an König Wilhelm vom 1. September 1870.
Fundort: Aegidi und Kl au hold a. a, O. Bd. 19. S. 198. Funote.
Monsieur mon frere! N'ayant pas pu mourir au milieu de mes troupes
il ne me reste qu' remettre mon epee entre les mains de Votre Majeste. Je
suis de Votre Maieste le von frere At ,,
Napoleon.
2. Quelle: Antwort König Wilhelms.
Fundort: (E. Brandenburg a. a. O. S. 240 und 241.
Monsieur mon frere. En regrettant les circonstances dans lesquelles nous nous rencontrons, j'accepte l'epee de Votre Majeste et je prie de bien vouloir nommer un de Ses officiers muni de pleins pouvoirs pour traiter de conditions de la capitulation de l'armee, qui s'est si bravement battue sous Vos ordres. De mon cte j'ai designe le general de Moltke cet effet.
Je suis de Votre Majeste le von frre Guillaume.
3. Quelle: Das amtliche Protokoll der Kapitulation.
Fundort: Aegidi und Klauhold a. a. O. Bd. 19. Nr. 4095.
Entre les Soussignes: le chef de l'etat-major de Sa Majeste le Roi Guillaume, commandant en chef des armees allemandes, et le general commandant en chef de l'armee fran<?aise, tous deux munis de pleins pouvoirs de Leurs Majestes de Roi Guillaume et l'empereur Napoleon la Convention suivante a ete conclue.
Art. ler. L'armee fran^aise, placee sous les ordres du general de Wimpffen, se trouvant actuellement cernee par des forces superieures autour de Sedan, est prisonniere de guerre.
Art. 2me. Vue la defense valeureuse de cette armee il est fait exception pour tous les generaux et officiers, ainsi que pour les employes superieurs ayant rang d'officiers, qui engageront leur parole d'honneur par ecrit de ne pas porter les armes contre l'allemagne et de n'agir d'aucune autre maniere contre ses interets jusqu' la fin de la guerre actuelle. Les officiers et employes, qui acceptent ces conditions, conserveront leurs armes, et les objets, qui leur appartiennent personnellement.
Art. 3me. Toutes les autres armes, ainsi que tout le materiel de l'armee, consistant en drapeaux, aigles, canons, chevaux, caisses de guerre, equipages de
x) Trinkspruch des Knigs: Wir mssen heute aus Dankbarkeit aus das Wohl meiner braven Armee trinken. Sie, Kriegsminister von Roon, haben unser Schwert geschrft; Sie, General von Moltke, haben es geleitet, und Sie, Graf Bismarck, haben seit Jahren durch die Leitung der Politik Preußen auf feinen jetzigen Hhepunkt gebracht. Lassen Sie uns also auf das Wohl der Armee, der drei von mir Genannten und jedes einzelnen unter den Anwesenden trinken, der nach seinen Krften zu den bisherigen Erfolgen beigetragen hat." (Oncken, Unser Heldenkaiser. Berlin o. I. S. 153.)
TM Hauptwörter (50): [T32: [Vgl Stadt Aufl Frankreich fig Maas Sch. Einw. Vergl Festung], T12: [König Paris Jahr Napoleon General Frankreich Mann Tag Kaiser Minister], T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen]]
TM Hauptwörter (100): [T29: [Napoleon Heer Schlacht Preußen Franzose General Mann Armee Sieg Bluch], T99: [Frankreich Loire Stadt Rhone Gebirge Pyrenäen Paris Meer Garonne Lyon], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T53: [Rom Stadt König Romulus Tempel Römer Sohn Forum Zeit Alba]]
TM Hauptwörter (200): [T35: [König Bismarck Wilhelm Kaiser General Minister Stein Berlin Graf Moltke], T53: [Frankreich Stadt Loire Paris Rhone Garonne Maas Lyon Orlean Hauptstadt], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung]]
Extrahierte Personennamen: Napoleons Napoleons Wilhelm Napoleon König_Wilhelms Wilhelms Guillaume Napoleon Moltke Graf_Bismarck
Extrahierte Ortsnamen: Napoleons Sedan Brandenburg Sedan Berlin
— 11 —
aufzugeben. Sie versuchten jetzt vielmehr, nachdem der überraschende Anprall fehlgeschlagen war, unsere Front durch ständiges, aber keineswegs einheitlich und planvoll geleitetes Hämmern nach und nach zu zermalmen. So begann denn jenes ununterbrochene, grauenvolle und grimmige Ringen, das sich durch lange Monate hinzog und sich bald über die ganze Front erstreckte. Dabei war der Feind fortgesetzt in der Lage, die gleichen ungeheuren Mengen von Geschützen aller Kaliber, dazu ständiges und massiges Minenfeuer und häufige Gasangriffe wirken und sein Feuer durch eine Überzahl von Fliegern lenken zu lassen. Auch konnte er bei seinen Infanterieangriffen stets starke, völlig frische Trnppenmaffen mit der rücksichtslosen Menschenvergeudung einsetzen, wie Wir sie bisher nur vom östlichen Kriegsschauplatz her kannten.
Unter den größeren Kraftanstrengungen unserer Feinde, die sich aus dem geschlossenen Gesamtbilde dieses Ringens heraushoben, lassen sich solche unterscheiden, die den Gesamtangriff auf der ganzen Front oder auf sehr großen Frontabschnitten brachten, und solche, in denen der Feind seine ganze Kraft auf die Eroberung einzelner ihm wichtig erscheinender Geländeabschnitte oder Stützpunkte wie Dörfer oder Waldstücke zusammenraffte. Unsere Heeresleitung sprach dann in beiden Fällen in ihren Berichten von „Großkampftagen". Ein Großkampftag erster Art war z. B. der 20. Juli. Auf 40 km langer Front stürmte an diesem Tage nach kräftigster Artillerievorbereitung der Feind auf unsere Gräben los. 17 Divisionen — 200000 Mann — rannten an und rannten doch nur, nutzlos hingeopfert, in den Tod. Schauerlich gelichtet mußten die Reihen fast überall zurück. Sogar Kavallerie war in großen Massen hinter der Front bereitgestellt, um nachzustoßen. Ein Teil dieser unglücklichen Reiterscharen wurde zur Attacke angesetzt und natürlich von unserer Infanterie wehrlos zusammengeschossen. Ein Geländestreifen, 800 m tief und 3 km breit, war das ganze Ergebnis des Tages. Und wie wild oft um einzelne Abschnitte gekämpft wurde, das zeigt, um ein Beispiel zu nennen, der wütende Kampf um den Besitz des Trönewäldchens bei Longueval. 19 mal ward es vom Feinde genommen, 18 mal ward dieser wieder hinausgedrängt, bis es ihm mit massierten Kräften gelang, sich hier trotz stärkster Verluste festzusetzen.
Diese Beispiele zeigen zugleich, daß, nachdem die erste Juliwoche, die Zelt der Überraschung, vorüber war, die Gefahr für unsere Front sich immer mehr verringerte. Wir kannten jetzt die Absichten des Gegners und waren in der Lage, ihnen wirkungsvoll entgegenzutreten. Frische Infanteriedivisionen wurden zur Unterstützung und Ablösung der Wackeren herangeholt, die den ersten Anprall des Feindes aufgefangen hatten. Frische Artillerie, vor allem schwere, griff nach und nach ins Gefecht ein. Unsere wackeren Armierungsbataillone erschienen auf dem Schlachtfelde. In wahrhaft überwältigender Hingebung schufen sie mitten im Feuer in Verein mit der kämpfenden Truppe die Artilleriestellungen und die jetzt festgelegten Kampflinien, und in wenigen Sagen entstand an Stelle des zusammengeschossenen ein neues Verteidigung^* stetem, das immer stärker wurde und viel, viel schneller in die Tiefe wuchs als der Feind es von vorn zu zerbröckeln vermochte.
,7- Ergebnis der Julikänipfe. Und diese festausgebauten Linien zu erschüttern, brachte der Feind nicht fertig trotz des Aufgebots feiner gesamten Angriffskraft. Wohl vermochte er uns ab und zu ein Grabenstück, einen Wald-
TM Hauptwörter (50): [T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen]]
TM Hauptwörter (100): [T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T19: [Feind Pferd König Mann Soldat Reiter Uhr Wagen Kanone Offizier], T23: [Stadt Feind Tag Heer Mauer Mann Lager Nacht Kampf Soldat], T92: [Mensch Leben Natur Arbeit Zeit Ding Geist Welt Art Seele], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung]]
TM Hauptwörter (200): [T140: [Stadt Franzose Feind Festung Truppe Tag Mann Paris Belagerung Angriff], T182: [Krieg Jahr Zeit Land Deutschland Regierung Frankreich Volk Folge Revolution], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung], T156: [Schlacht Sieg Feind Heer König Mann Kampf Tag Tapferkeit Franzose], T183: [Kind Lehrer Schüler Unterricht Schule Frage Stoff Aufgabe Zeit Geschichte]]
— 10 —
vom Horizont, in welchem die acht Himmelsgegenden bezeichnet
sind. Ein solches Bild heißt eine Windrose.
Zeige nach N., nach £)., nach S., nach W., nach Nw.
n. s. to.! Nach welcher Himmelsgegend wende ich jetzt mein
Gesicht? Nach welcher seht ihr? Welche Himmelsgegend hat
man rechts, wenn man vor sich N. hat? Welche hinter sich?
Welche zur Linken? Welche Himmelsgegend hat man rechts,
wenn man vor sich O. hat? Welche zur Linken? Welche
hinter sich? u. s. w. (Durch öftere Wiederholung sind die
Himmelsgegenden fest einzuüben, und zwar auch im Klassen-
zimmer und auf dem Flur des Schulhauses.)
Die Bestimmung der Himmelsgegenden kann auch dadurch
geschehen, daß man die Kinder beobachten läßt, wie sich in-
folge des Steigens und Sinkens der Sonne Richtung und
Länge des Schattens fortwährend verändern. An einer
sonnigen Stelle des Schulhofes wird ein langer Stab senkrecht
im Erdboden befestigt. Ein zuverlässiger Schüler wird mit
der Aufgabe betraut, von morgens 8 Uhr bis nachmittags
4 Uhr stündlich Richtung und Länge des Schattens, den der
Stab wirft, mit deutlichen Strichen auf der Erde zu bezeichnen.
In den Pausen nehmen alle Schüler an den Beobachtungen
teil. Am folgenden Tage wird in der Unterrichtsstunde das
vollständige Ergebnis der Beobachtungen von der ganzen
Klasse in Augenschein genommen. Der Schüler, der die Striche
hat einritzen müssen, zeigt den Strich, der den Schatten um
mittags 12 Uhr angiebt, und nun wird das Verständnis der
Himmelsgegenden in der oben gezeigten Weise vermittelt.
Gleichzeitig lernen die Kinder, daß der Schatten mittags
12 Uhr am kürzesten ist, und daß er bis Mittag an Länge
abgenommen, dagegen nach Mittag zugenommen hat. Leicht
begreiflich wird es ihnen sein, daß diese Erscheinung mit dem
Steigen und Sinken der Sonne zusammenhängt, und sie
werden sich unschwer folgende Sätze merken: Je höher die
Sonne steigt, desto kürzer wird der Schatten; je mehr sie
sinkt, desto länger wird er; am kürzesten ist er mittags. —
TM Hauptwörter (50): [T21: [Erde Sonne Tag Jahr Mond Zeit Stunde Punkt Abschnitt Periode], T7: [Erde Luft Sonne Wasser Himmel Berg Tag Licht Wolke Nacht], T45: [Zeit Mensch Leben Kunst Sprache Wissenschaft Natur Wort Geist Lehrer]]
TM Hauptwörter (100): [T81: [Sonne Erde Tag Mond Himmel Nacht Stern Zeit Licht Stunde], T45: [Kind Lehrer Wort Schüler Buch Unterricht Schule Frage Buchstabe Zeit], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T16: [Ende Körper Strom Bild Hebel Hand Auge Wasser Gegenstand Seite]]
TM Hauptwörter (200): [T164: [Sonne Erde Mond Tag Stern Planet Zeit Himmel Jahr Bewegung], T183: [Kind Lehrer Schüler Unterricht Schule Frage Stoff Aufgabe Zeit Geschichte], T47: [Karte Lage Länge Breite Größe Meile Linie Ort Grenze Höhe], T24: [Luft Wasser Wärme Körper Erde Wind Regen Höhe Temperatur Schnee], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung]]
356
Bayern unter König Max I Joseph.
bisherigen Gemahlin und heirathete (2. April 1810) des Kaisers
Franz I älteste Tochter, Maria Louise, die ihm (20. März
1811) einen Sohn gebar, dem er den Titel „König von Rom"
beilegte.
Auf die Unterstützung Oesterreichs bauend suchte Napoleon
die Engländer, deren Macht ihm schon lange ein Dorn im
Auge war, durch Vernichtung ihres Handels zu schwächen und
ordnete zu diesem Zwecke durch ein Dekret vom 19. Dezember
1810 die Continental sperre (Verbot aller englischen Manu-
facturwaaren in den von ihm abhängigen Staaten) an. Bayern
fügte sich, wies aber sonstige Eingriffe, die Napoleon in seine
inneren Verhältnisse zu machen suchte (z. B. die Zumuthung der
Einführung seines Gesetzbuches) klug und fest zurück. Auch von
Rußland forderte Napoleon die strengste Handelssperre gegen
England und begann, als ihm Kaiser Alexander nicht will-
suhr, diesen auf jede Weise zu beleidigen. So kam im Frühjahre
1812 der russische Krieg zum Ausbruch, der Napoleon
zwang, seine Kräfte zu theilen, denn während des Kampfes im
fernsten Nord osten durfte der leicht erregbare Süd westen
nicht ungedeckt bleiben. Bayern mußte, so schwer es ihm fiel,
sein Bundescontingent von 30,000 Mann unter dem Oberbefehle
Frankreichs nach Rußland absenden.
Die Hauptmasse der Bayern kämpfte als 19. und 20. Di-
vision der großen Armee im sechsten Armeecorps unter dem
Oberbefehle Gouvions St. Cyr mit Auszeichnung (16., 17.,
18. und 22. August 1812) bei Polotzk an der Düna, wo die
tapferen Generale Deroy und Sieb ein blieben. Bis zum
18. Oktober hielt sich Gouvion St. Cyr bei Polotzk, an
diesem und dem folgenden Tage aber wurde er von den über-
legenen Heeresmassen des russischen Generals Wittgenstein und
des mit schwedischen Truppen herbeigeeilten Generals Stein heil
angegriffen. Er behauptete zwar mit den Bayern, die gegen
sechstausend Mann einbüßten, seine Stellung, aber der General
Merle, der den schwerverwundeten Gouvion St. Cyr im
Kommando ablöste, sah sich zur Aufgebung der Stellung ge-
zwungen und zog sich gegen Lukomila an der Ulna zurück, wo
am 29. Oktober die Vereinigung mit dem von Smolensk sich
zurückziehenden Marschall Victor erfolgte. Die Bayern unter
Wrede, nur mehr 2000 Mann stark, waren in südwestlicher
TM Hauptwörter (50): [T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen], T34: [Krieg Frankreich England Deutschland Preußen Frieden Rußland Napoleon Kaiser Jahr]]
TM Hauptwörter (100): [T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T29: [Napoleon Heer Schlacht Preußen Franzose General Mann Armee Sieg Bluch], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T96: [Ludwig Karl König Frankreich Kaiser Xiv Napoleon Krieg Franz Italien], T68: [Gericht Recht Richter König Strafe Gesetz Urteil Sache Person Verbrechen]]
TM Hauptwörter (200): [T21: [Napoleon Bluch Heer General Preußen Franzose Schlacht Armee Mann Wellington], T150: [Maria König Theresia Kaiser Franz Karl Friedrich Joseph Frankreich Sohn], T87: [Meer Rußland Wolga Stadt Petersburg Moskau See Ostsee Hauptstadt Ural], T103: [England Krieg Frankreich Spanien Franzose Engländer Flotte Jahr Holland Frieden], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung]]
Extrahierte Personennamen: Max_I_Joseph Max Franz_I Franz Maria_Louise Maria Napoleon Napoleon Napoleon Alexander Alexander Napoleon August Merle
Extrahierte Ortsnamen: Oesterreichs England Nord Frankreichs Oberbefehle_Gouvions Düna Wittgenstein Smolensk
Bildungsstufen (OPAC): Sonstige Lehrmittel, alle Lernstufen
Inhalt Raum/Thema: Vaterländische Geschichte
175
ihm die Felle „wegschwammen“, seine Losung wurde: „Rache für Sadowa.“
Zu diesem Ergebnis führte wesentlich auch der Ausgang des Mainfeldzuges.
Der Mainfeldzug.
Bei der kriegerischen Tüchtigkeit der Süddeutschen und ihrer großen Ueberzahl hätte man auf ihrer Seite auch noch nach der Ausschaltung der hannoverschen Armee größere Erfolge erwarten sollen. Die Aufgabe Vogel von Falkensteins dagegen, der die drei vereinigten preußischen Divisionen (45 000 Mann) gen Süden zu führen hatte, mußte als eine überaus schwierige und gefahrvolle betrachtet werden. Mitten zwischen zwei starke, feindliche Armeen hatte er sich hineinzuschieben. Die tatsächlichen Verhältnisse bei den Süddeutschen waren aber doch viel ungünstiger, als wie sie bei oberflächlicher Betrachtung erschienen.
Die Bayern, die sich bei Bamberg sammelten, zählten bei Beginn des Krieges nur 29 000 Mann; die Zahl wuchs nach und nach auf 41 000 Mann, und erst zum Schlüsse erreichten sie wirklich die Höhe von 53 000 Mann. Aber noch viel weniger fertig waren die Leute vom achten deutschen Bundeskorps. Bei Beginn des Krieges waren sie noch mit der Aufstellung ihrer Abteilungen beschäftigt und darum zu Anfang gar nicht kampffähig. Am Schlüsse waren sie allerdings 48 000 Mann stark, hatten aber eine innere Einheit so wenig erreicht, daß ihr Führer, Prinz Alexander von Hessen, bitter klagte, sie erhielten stets von sechs verschiedenen Kriegsherren ihre Befehle und hätten ebenso-viele Reglements, Signale, Artilleriesysteme und — politische Ziele. So konnte es kommen, daß der Herzog von Nassau es durchsetzte, daß beim Vormarsch gegen Vogel von Falkenstein das Korps westlich möglichst nahe bei Nassau sich halten mußte und deshalb bei den ersten Gefechten den Bayern gar nicht helfen konnte. Im weiteren Verlauf rief der Herzog dann seine „Armee“ noch ab, um Nassau unmittelbar zu verteidigen, ohne daß diese gegen die Landwehren und vierten Bataillone Rheinpreußens das Ländchen wirklich hätte schützen können.
Ein weiterer Uebelstand war es, daß die sämtlichen Süddeutschen erst nach der Schlacht von Königgrätz zum Kampfe
TM Hauptwörter (50): [T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen], T35: [Preußen Königreich Bayern Sachsen Staat Hannover Baden König Provinz Land]]
TM Hauptwörter (100): [T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T9: [Krieg Deutschland Reich Frankreich Preußen Macht Zeit Kaiser Jahr Frieden], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T59: [Heer Mann Soldat Krieg Jahr Offizier Land König Truppe Waffe], T23: [Stadt Feind Tag Heer Mauer Mann Lager Nacht Kampf Soldat]]
TM Hauptwörter (200): [T182: [Krieg Jahr Zeit Land Deutschland Regierung Frankreich Volk Folge Revolution], T21: [Napoleon Bluch Heer General Preußen Franzose Schlacht Armee Mann Wellington], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung], T60: [Mann Heer Jahr Offizier Soldat Landwehr Truppe Krieg Armee Regiment], T183: [Kind Lehrer Schüler Unterricht Schule Frage Stoff Aufgabe Zeit Geschichte]]
Extrahierte Personennamen: Alexander_von_Hessen Alexander
Bildungsstufen (OPAC): Sonstige Lehrmittel, alle Lernstufen
Inhalt Raum/Thema: Vaterländische Geschichte
210
lang, zum Ziel zu bringen versuchte, bis die Mehrzahl der Reiter geblieben war. Der Rest war wieder in das Gehölz von Garenne entwichen. Mit toten und verwundeten Reitern und Pferden war das Feld zwischen dem Gehölz von Garenne und Floing bedeckt. Dazwischen trabten in Massen die herrenlos gewordenen Pferde, die bald hier, bald da einen Ausweg suchten.
Inzwischen war die deutsche Artillerie auf den einfassenden Höhen immer zahlreicher geworden und schloß ihre Kreise immer enger. Um 3 Uhr war von ihr auch schon auf dem westlichen Givonneufer fester Fuß gefaßt; allein zwischen Bazeilles und Haybes feuerten 21 Batterien!
Je enger die Franzosen zusammengedrängt wurden, je verwirrter wurde das Durcheinander. Alles: Menschen, Tiere, Wagen drängte in die Festung hinein; stellenweise brannte sie bereits, als um 4^2 Uhr weiße Fahnen aufgezogen wurden.
Napoleon, dessen Anwesenheit den Deutschen nicht bekannt gewesen war, schickte den General Reille, um seine persönliche Ergebung dem König Wilhelm anzuzeigen. Ueber die Ergebung der Armee zu verhandeln, hatte Wimpffen die harte Aufgabe. Sie wurde nur wenig durch das Bewußtsein erleichtert, daß er an dieser traurigen Lage keinerlei Schuld trage. Erst vor zwei Tagen war er von Afrika herübergekommen.
Die Franzosen wendeten sich an die Großmut des Siegers. Glücklicherweise war man im deutschen Hauptquartier nüchtern genug, sich nicht durch so schöne Worte bestimmen zu lassen; gedankt hätten sie es doch nicht, das hätte ihr Selbstgefühl nicht zugelassen.
So mußte denn die ganze französische Armee, die nach Abzug der Gefallenen noch 83 000 Mann zählte, sich gefangen geben. Einstweilen brachte man sie nach der Halbinsel Iges, die abwärts von Sedan in langer Ausdehnung von der Maas umflossen wird. Eine oberflächliche Ueberwachung war hier durch das einschließende Wasser leicht gemacht. In Abteilungen von 2000 Mann führte man sie nach und nach von hier nach Pont-ä-Mousson, von wo sie dann durch Truppen der Metzer Einschließungsarmee weiter nach Deutschland geschafft wurden. Den Offizieren gestattete man gegen Ehrenwort, sich ohne Beaufsichtigung nach Pont-ä-Mousson zu begeben. Napoleon selber aber wurde über Belgien nach Wilhelmshöhe bei Kassel gebracht, wo er sich
TM Hauptwörter (50): [T28: [Schlacht Heer Feind Mann Armee Napoleon Franzose General Truppe Preußen]]
TM Hauptwörter (100): [T51: [Armee General Schlacht Franzose Truppe Mann Feind Heer Metz Preußen], T19: [Feind Pferd König Mann Soldat Reiter Uhr Wagen Kanone Offizier], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T92: [Mensch Leben Natur Arbeit Zeit Ding Geist Welt Art Seele], T52: [Mensch Leben Volk Gott Geist Zeit Religion Mann Glaube Herz]]
TM Hauptwörter (200): [T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung], T141: [Armee Metz General Paris Schlacht August Mac Franzose Mahon Festung], T143: [Stadt Kind Tag Haus Straße Mann Mensch Weiber Nacht Soldat], T52: [Arbeiter Arbeit Zeit Betrieb Jahr Fabrik Maschine Staat Preis Kapital], T102: [Glocke Stimme Wort Hand Auge Ohr Kirche Ton Fenster Herr]]
Extrahierte Personennamen: Napoleon Wilhelm Napoleon
Extrahierte Ortsnamen: Garenne Afrika Sedan Deutschland Kassel
Autor: Schlagintweit, Robert von, Humboldt, Alexander von, Andree, Richard, Schreiber, Carl, Ritter, Carl, Roon, Albrecht Theodor Emil von, Daniel, Hermann Adalbert
252
Heere der übrigen Staaten für den Kriegsfall unter Preußens Oberbefehl
stellte.
Der durch französische Eifersucht und Rachegelüste, sowie durch ultra-
montane Einflüsse auf Napoleon Iii. 1870 herbeigeführte, für die deutschen
Waffen so glorreiche Krieg hat Deutschland endlich nahezu seine politische
Einheit, dem Reiche wieder einen Kaiser, die ihm gebührende Stellung unter
den Mächten der Erde und Jahrhunderte lang entrissen gewesene deutsche
Lande, Elsaß und Lothringen, zurück gegeben. So herrliche Erfolge der-
danken wir nächst unserem heldenmütigen Kaiser Wilhelm I. und den ihm
zur Seite stehenden großen Männern dem allmälig erstarkten Nationalgefühle
der Deutschen und ihrer altbewährten Tapferkeit.
A. Das deutsche Reich.
25 Staaten und das unmittelbare Reichsland Elfaß-Lothringen.
98171/2 Cm., 41,060,700 E.
§ 69.
I. Aas Königreich Ureußen mit Lattenburg.
6326,1?« Qm. 25,723,754 E.1)
Der Preußische Staat in seiner heutigen Ausdehnung vom 23° 31,
50" bis 40°, 32' 25" Obr. und vom 49° 6' 45" bis 55° 52' 56" Nbr.
bildet, abgesehen von einigen durch andere Staaten umschlosseneu Theilen
(Hohenzollern) ein zusammenhängendes Ganze, das mehrere andere kleine
Staatsgebiete umschließt. Er wird im O. in (175 Ml.) langer Linie von
Rußland; im S. von Oesterreich, dem Königreich Sachsen, den Sächsisch-
Ernestinischen Ländern, Renß jüngerer Linie, den beiden Schwarzburg, von
Baiern und dem Großherzogthum Hessen; im W. von Dentsch-Lothringen,
Luxemburg-Belgien und den Niederlanden; im N. von Oldenburg, Bremen,
Hamburg, Dänemark, Lübeck, den beiden Mecklenburg und von der Nord-
und Ostsee (218 Ml. l.) begrenzt. Von der Beschaffenheit der Küstenlinie
und der ihr eigentümlichen Haffbildung ist schon früher (S. 47, 117 und
230) die Rede gewesen. Welche Gebirge und Stromgebiete sallen innerhalb
dieser Grenzen?
Von den Bewohnern gehören 22 Mill. der deutschen, 2 Mill. der
slavischen Nationalität, 150,000 der dänisch redenden, und eben so viel
der litthauischeu, 11,000 der wallonischen Bevölkerung, nach dem religiösen
Bekenntniß 16 Mill. der evangelischen, 8^ Mill. der römisch-katholischen
Kirche, ca. 100,000 anderen Consessionen und 300,000 dem Judenthum an.
1) Die Bevölkerungszahlen sind fämmtlich nach den von dem Königl. Preuß.
Statistischen Bureau mitgetheilten „Ergebnissen der Volkszählung vom 1. Dec. 1875
im Königreich Preußen" bestimmt.
TM Hauptwörter (50): [T35: [Preußen Königreich Bayern Sachsen Staat Hannover Baden König Provinz Land], T22: [Volk Bewohner Sprache Land Bevölkerung Einwohner deutsche Religion Million Stamm], T34: [Krieg Frankreich England Deutschland Preußen Frieden Rußland Napoleon Kaiser Jahr]]
TM Hauptwörter (100): [T44: [Sachsen Provinz Preußen Königreich Hannover Bayern Staat Hessen Baden Land], T61: [Mill Staat Deutschland Reich Europa deutsch Million Land England Einwohner], T9: [Krieg Deutschland Reich Frankreich Preußen Macht Zeit Kaiser Jahr Frieden], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T95: [Bewohner Sprache Volk Land Bevölkerung deutsche Stamm Religion Neger Einwohner]]
TM Hauptwörter (200): [T174: [Preußen Sachsen Hannover Holstein Provinz Königreich Staat Oldenburg Braunschweig Dänemark], T78: [Mill Staat Million Deutschland Reich Europa Einwohner Land Jahr deutsch], T71: [Deutschland Krieg Preußen Volk Napoleon Frankreich Macht Frieden Europa Land], T47: [Karte Lage Länge Breite Größe Meile Linie Ort Grenze Höhe], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung]]
Extrahierte Personennamen: Napoleon Wilhelm_I. Wilhelm_I. Schwarzburg
46 Vi. Rechtspflege Ludwigs Ix. des Heiligen (122670).
fr d. ge- car le gage etant admis comme moyen de preuve, ou comme richtlichen appel de jugement, il fallait bien qu'il ft accorde tous ceux Zweikampf. comparaissaient eil justice. La difference entre les classes n'etait que dans les armes des combattants. Les nobles combat-taient cheval, recouverts du heaume et de leur armure com-plete, avec l'epe et la lance; les roturiers avec l'ecu (un petit bouclier) et le bton. Ii y avait meme gages de bataille entre nobles et roturiers, mais avec cette distinction: si le noble atta-quait un roturier, il devait le combattre avec les armes du roturier; car il se degradait, en quelque sorte, en provoquant un inf6rieur. Ii devait se mettre son niveau; et si, dans ce cas, il se presentait avec toutes ses armes au combat, il en etait de-pouille, sans avoir meme le droit de recevoir en change Celles qu'il avait dedaign6es, et se voyait reduit combattre en pure chemise". Si au contraire il 6tait defie, il gardait le benefice de son rang et combattait avec toutes ses armes, tandis que le roturier n'avait jamais que l'ecu et le bton. On appelait au combat non-seulement la partie, mais le temoin, mais le juge. C'etait le seul moyen de fausser, c'est--dire de recuser comme faux et de faire reviser un jugement. On appelait le seigneur lui-meme, si l'on avait differend avec lui, mais alors le vassal devait, au prealable, rompre le lien qui les unissait l'un l'autre, c'est--dire lui rendre son fief et renoncer son hommage3); de meme que le seigneur, s'il appelait au combat un vassal, devait le dgager de l'hommage3) que celui-ci lui devait.
Abschaffung 4. Saint Louis n'accepta pas cette sorte de justice. Au des zwei- p0int de vue du droit, eile etait absurde. Qu'y a-t-il de com-M^de^un entre le droit et la force? Au.point de vue religieux, eile Heiligen, etait impie. N'etait-ce pas tenter Dieu que de requerir son Intervention en toute quereile et de se decharger sur lui du devoir de juger? 0 hommes, qui m'a fait juge de vos querelies et de vos partages?"x) Ii supprima donc cette fausse justice de ses domaines. Ii maintint toute l'ancienne procdure, l'imputation, le dement!2) et toutes les formes de preuves l'usage de l'accu-sation ou de la defense. Seulement, au moment ou, d'ordinaire, le juge adjugeait la bataille, c'tait l'enquete qui etait ordonne. Des temoins etaient recherches, produits, recuses l'occasion, et le jugement 6tait rendu sur tout l'ensemble des preuves (1260), Er gewhrt Les gages de bataille etaient donc remplaces par l'enquete
3) Eigentl. Lehenshuldigung; hier im weiteren Sinn: Lehensverhltnis, dort als Recht, hier als Pflicht.
4. !) Luc. 12, 14. 2) Der Anklger begann mit der Beschul-
TM Hauptwörter (50): [T32: [Vgl Stadt Aufl Frankreich fig Maas Sch. Einw. Vergl Festung]]
TM Hauptwörter (100): [T99: [Frankreich Loire Stadt Rhone Gebirge Pyrenäen Paris Meer Garonne Lyon], T66: [Geschichte Iii Vgl Nr. Aufl Gesch Lesebuch Bild fig deutsch], T53: [Rom Stadt König Romulus Tempel Römer Sohn Forum Zeit Alba], T3: [Lage Karte Land Europa Geographie Klima Größe Verhältnis Grenze Gliederung], T68: [Gericht Recht Richter König Strafe Gesetz Urteil Sache Person Verbrechen]]
TM Hauptwörter (200): [T92: [Vgl Aufl fig Vergl Sch. Liv Sept Aug Iii Geb], T53: [Frankreich Stadt Loire Paris Rhone Garonne Maas Lyon Orlean Hauptstadt], T17: [Uhr Feind Truppe General Schlacht Armee Napoleon Kampf Angriff Stellung], T80: [Kaiser Stadt Fürst Recht Reich König Reichstag Macht Adel Fürsten]]